lundi 23 mai 2011

séjour en Ecosse

J'ai passé 5 jours en Ecosse, au pays de William Wallace, du 17 au 21 Mai. Je suis donc parti le lendemain de mon dernier exam, pour un début de vacances sur les chapeaux de roues! Scotland here we are!!!


Le séjour en Ecosse était trop bien : on a passé 2jours à Edinburgh, 1j sur les routes à travers l'Ecosse, 1j1/2 à Glasgow, ...et c'était déjà l'heure du départ. 

Edinburgh est particulièrement jolie, avec un centre médiéval super grand, qui est très bien conservé. La capitale est notamment connue pour son impressionant chateau, qui a été la clé du pays lors de nombreuses batailles à travers l'histoire.

 On a eu un guide qui nous expliquait plein d'histoire de la ville. C'est une ville avec un passé culturel extrêmement important: il y a plein de découvertes médicales qui y ont été faite(d'ailleurs ça a donné lieu à des pratiques pas très catholique pour se procurer des cadavres pour pratiquer la médecine!), plein d'écrivains qui sont originaires ou qui ont écrit dans cette ville (la contemporaine la + connue est bien sur J.K Rowling de Harry Potter), peut-être que Adam Smith ou David Hume te disent qqch, le 1er est un économiste classique qui a révolutionné la pensée du moment, et le 2nd est un philosophe très influent.






Les paysages d'Ecosse sont superbes, on est allé vers le Nord, dans les Highlands, jusqu'au Loch Ness, c'est très montagneux, il y a plein de ruisseaux, c'est très très beau et particulièrement désert.




 Le Loch Ness ressemble à beaucoup d'autres lacs mais ce qu'il faut savoir c'est qu'il est particulièrement profond (jusqu'a 250m au plus profond) et tout en longueur (38km quand même!), ce qui explique pourquoi on a parfois un peu de mal à voir Nessie :-).




Au final il n'est pas si monstrueux que ça, et se laisse même nourrir si on s'y prend avec douceur ;-)


Glasgow est la 3e ville du Royaume Uni, c'est le coeur économique de l'Ecosse. Là aussi on a eu la chance d'avoir une visite guidée. Cette fois par une amie d'une fille du groupe, qui passe son année Erasmus a Glasgow.
Glasgow est surtout connue pour son université qui date de 145 et qui a des batiments vraiment splendide.



Sa cathédrale est aussi un batiment remarquable avec une première église qui a été l'oeuvre d'un premier architecte au XIIIe siecle. Après quelques années où les travaux n'ont pas avancés, ils ont changé d'architecte, et il a créé quelque chose de beaucoup plus grand par dessus le 1er ouvrage. Ainsi, il existe une crypte sous la cathédrale, qui fait déjà une taille non négligable.





L'Ecosse c'est aussi le pays du Whisky (on notera que le whisky ecossais s'écrit sans 'e' alors que l'irlandais s'écrit whiskey). Alors j'ai essayé de le renseigné sur les différentes sortes de whisky. Et j'ai pu en gouter quelques uns. Je vais faire référence à un article de notre ami wikipédia qui explique comment apprécier ce breuvage : 

Dégustation[modifier]


Blended Scotch Whisky
Pour apprécier pleinement le goût d'un bon whisky, il est généralement déconseillé d'y ajouter des glaçons. En effet, ceux-ci en fondant dénaturent les arômes. De plus, le froid anesthésie les papilles gustatives.
Il est en revanche possible, voire recommandé dans certains cas, d'allonger son whisky avec un peu d'eau (juste quelques gouttes). Les connaisseurs affirment que cette adjonction permet de libérer les arômes. La quantité d'eau à ajouter dépend du whisky : certains doivent être dégustés au plus haut degré de confort (environ 43 % d'alcool), d'autres peuvent être allongés jusqu'à 30 degrés. Les premiers sont les whiskies gras et souples, bus généralement en digestifs, obtenus par des distillations lentes et vieillis dans des fûts ayant contenu un vin. Les autres sont les whiskies fumés vieillis dans du bois neuf. Tous les intermédiaires sont possibles avec les assemblages que l'on trouve sur le marché. Il faut donc déterminer soi-même la quantité d'eau optimale en en rajoutant progressivement. Le mélange optimal est obtenu lorsque l'expression aromatique spécifique du whisky dégusté est maximale lors d'une gorgée, sachant que la taille de la gorgée dépend du degré d'alcool (les gorgées d'un whisky moins alcoolisé peuvent être plus importantes sans entraîner de brûlure), et que l'eau modifie la hiérarchie aromatique et l'acidité.

Un verre à dégustation
Bien que le verre à whisky traditionnel (old fashion) soit de forme cylindrique, les connaisseurs recommandent plutôt des verres à whisky en forme de tulipe.
Les principales qualités d'un whisky (force alcoolique, caractère fruité, boisé ou tourbé et âge) peuvent être déterminées par son seul nez (la palette olfactive, la dégustation s'appelle d'ailleurs nosing en anglais).
Le "feu" d'un whisky peut aider à déterminer son âge. Si la force alcoolique se fait ressentir au début de la langue, alors le temps de veillissement de ce whisky est de moins de dix ans. Plus le feu du breuvage se dirige en profondeur de la gorge, plus celui-ci a vieilli en fût.
Les arômes du whisky peuvent être classés en deux catégories :
  • ceux provenant du processus d'élaboration ;
    • céréales,
    • fruités,
    • tourbés, fumés, marins ;
  • ceux provenant du vieillissement ;
    • boisés, épicés.
La dégustation se décompose généralement en trois phases :
  • phase visuelle :
    • la couleur et les reflets donnent des informations sur le type de fût dans lequel le whisky a vieilli, ainsi que sur son âge (le "new spirit" — whisky non vieilli — est incolore à sa sortie de l'alambic) ;
    • la viscosité du whisky, appréciée en observant les traces laissées à la surface du verre (appelées "jambes" ou "legs" en anglais) lorsqu'on l'agite dans un mouvement circulaire, donne aussi des indices sur le type de fût utilisé et sur la durée de vieillissement ;
    • la limpidité permet de savoir si le whisky a été filtré.
  • phase olfactive :
    • le premier nez est une première approche des différents arômes. Cette étape consiste à déceler les arômes les plus volatils en plaçant son nez plus ou moins loin du verre ;
    • le second nez consiste à effectuer des mouvements rotatifs avec le verre afin de révéler d'autres arômes. Il est souvent intéressant de recouvrir le verre quelques secondes avec sa main (ou avec le couvercle fourni avec certains verres de dégustation) afin de concentrer ces arômes.
  • phase gustative :
    • la bouche
      • l'attaque en bouche permet de distinguer les whiskys gras des secs et de comparer les saveurs fondamentales à l'approche olfactive ;
      • le milieu de bouche est l'occasion de détailler les qualités du whisky. Si elles se renforcent, il est dit linéaire ; si elles évoluent, il est qualifié de complexe ;
    • la finale permet d'apprécier la longueur du whisky, et le retour de nez. Une fois le verre fini, d'apprécier les arômes des extraits secs qui peuvent révéler encore d'autres richesses.

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